Du 10 au 17 juillet 2025, Besançon a accueilli le XVIᵉ Congrès mondial de la FIPF, placé sous le thème « Utopies francophones ». Plus de 1 500 professeurs, chercheurs et acteurs du monde éducatif s’y sont réunis pour partager réflexions, pratiques et perspectives autour de l’avenir du français.
Grâce au soutien de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), via son Centre Régional Francophone pour l’Afrique (CREFA), plusieurs enseignants venus d’Afrique et du Moyen-Orient ont pu participer à ce rendez-vous incontournable. Ils y ont présenté leurs travaux, animé des ateliers et partagé leurs expériences avec des collègues des cinq continents. Leurs témoignages traduisent toute la richesse de cette rencontre :
« En tant que membre de la LIMPF, j’ai eu l’immense honneur de présenter une conférence dans le cadre du Congrès mondial de la FIPF à Besançon, sur un thème qui me tient à cœur : la didactisation des sciences en langues additionnelles et le potentiel de l’intelligence artificielle en contexte multilingue. Cette intervention a été pour moi un moment fort, tant par l’intérêt suscité que par les échanges enrichissants qu’elle a générés. Ce congrès a été une expérience humaine et professionnelle d’une grande richesse. J’ai pleinement profité de la qualité des interventions des conférenciers éminents, des nombreuses communications inspirantes, ainsi que des ateliers pratiques auxquels j’ai pris part. Je remercie tout particulièrement l’OIF pour son soutien permanent à tout niveau, sans lequel ma participation n’aurait pas été possible. Son accompagnement est précieux et porteur de sens pour l’ensemble des enseignants et des acteurs de la francophonie. », confie Amina ABERCHOUM, professeure des universités, (Maroc).
« Je tiens à exprimer ma plus sincère reconnaissance à l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) pour son soutien précieux, sans lequel ma participation au Congrès mondial de la FIPF à Besançon n’aurait pas été possible. Avant le congrès, j’ai eu l’honneur d’être désignée lauréate du premier prix d’un concours organisé par l’OIF, grâce à mon projet d’ateliers d’écriture créative assistée par l’intelligence artificielle. Cette reconnaissance s’est concrétisée par la prise en charge de ma participation au Congrès de Besançon. Un geste qui m’a profondément touchée et motivée à porter haut les valeurs de la francophonie éducative. Ce moment a été pour moi une forme de validation collective : la reconnaissance de l’OIF comme première lauréate a trouvé tout son sens et sa légitimité dans la réaction du public et dans l’intérêt suscité par mon travail. Je me suis sentie à la fois honorée, fière et profondément motivée à continuer dans cette voie. Je renouvelle mes remerciements à l’OIF pour la confiance accordée, et pour l’engagement constant à accompagner les enseignants francophones dans leur développement professionnel. », souligne Sarra CHAIEB, enseignante de français (Tunisie).
« Le Congrès s’est déroulé dans d’excellentes conditions. J’y ai acquis de précieuses connaissances pédagogiques, tout en découvrant de nouvelles pratiques d’enseignement. Ce fut également l’occasion d’échanger avec des enseignants de français venus des quatre coins du monde, et de tisser des liens professionnels enrichissants. Je tiens à exprimer toute ma gratitude à l’OIF, sans qui cette expérience n’aurait pas été possible. Son soutien a permis cette aventure exceptionnelle, aussi bien sur le plan humain que professionnel. », témoigne Yahye Yassin Omar, enseignant de français (Djibouti).
« Ce Congrès restera un jalon important pour notre association. Grâce au soutien de l’OIF, nous avons pu représenter le Burundi et échanger avec des collègues venus de tous horizons. Nous repartons avec une grande fierté et une motivation renouvelée pour promouvoir la langue française. », explique Pierre NDUWINGOMA, Président de l’Association Burundaise des Enseignants de Français (Burundi).
« Je tiens à remercier l’OIF pour cette opportunité unique. Les ateliers auxquels j’ai participé m’ont ouvert de nouvelles perspectives pédagogiques. Je suis convaincu que ces acquis auront un impact direct sur notre manière d’enseigner et sur nos élèves. », ajoute Maxime NIYONKURU, Vice-Président de l’Association Burundaise des Enseignants de Français (Burundi).
« Ma participation à ce Congrès n’aurait pas été possible sans l’appui de l’OIF. Au-delà de l’enrichissement personnel, j’ai beaucoup apprécié la reconnaissance accordée à notre travail d’enseignants de français. Nous nous sentons soutenus et valorisés. », témoigne Evode IRAKOZE, membre de l’Association Burundaise des Enseignants de Français (Burundi).
« Participer à un tel événement a été un véritable privilège. Merci à l’OIF pour cette belle initiative qui nous a permis de créer des liens solides avec d’autres associations et de rêver ensemble à de futurs projets francophones. », souligne Edith NDEREYIMANA, membre de l’Association Burundaise des Enseignants de Français (Burundi).
À travers ce soutien, l’OIF affirme une nouvelle fois son engagement pour le développement professionnel des enseignants, la valorisation de leurs compétences et le rayonnement de la langue française dans les régions Afrique et Moyen-Orient.